Mr.Bricolage
Maçonnerie

Quel mortier choisir ?
On utilise trois types de mortiers selon les travaux à effectuer :
1/ Le mortier de ciment : ciment et sable.
Très résistant, il prend et durcit vite et il est imperméable.
Assez peu plastique, il peut se fissurer.
2/ Le mortier de chaux : chaux et sable.
Plastique et onctueux, il est facile à appliquer.
Il est moins résistant et pas totalement imperméable.
3/ Le mortier bâtard : ciment, chaux et sable.

Gâcher du mortier
Le mortier est un mélange de ciment ou de chaux, de sable et d'eau :
1/ Sur une surface plane et propre, faire un tas avec le sable.
2/ Verser le ciment par dessus et mélanger intimement les deux.
3/ Faire un monticule et y creuser un cratère.
4/ Verser l'eau dans le cratère et jeter, peu à peu, le mélange dans l'eau.
5/ Mélanger le mortier en retournant plusieurs fois le tas, à la pelle, jusqu'à ce qu'il soit uniformément humide.
On peut s'aider d'un croc à trois dents ou d'une binette.
Si le mélange est un peu trop sec, l'humidifier en pluie et mélanger.

Quel sable pour du mortier ?
Pour fabriquer un bon mortier, le sable doit avoir certaines caractéristiques :
1/ Une granulométrie variée avec des grains fins, moyens et gros (de 0 à 5 mm).
2/ Il doit être propre, sans boue ni déchets de feuilles ou morceaux de bois.
Pour vérifier la propreté du sable, prendre une poignée de sable et la frotter entre les mains.
S'il reste des traces grises ou colorées, le sable est sale.
3/ Ne pas utiliser de sable de mer, sauf s'il a été lavé.
4/ Choisir de préférence le sable de rivière tout-venant.

Doser des mortiers d'assemblage
Selon les matériaux à assembler le dosage du mortier, en sable et en ciment, est différent.
On donne le dosage à partir du ciment ou à partir du sable.
Quantité de sable sec pour 50 kg de ciment :
1/ Mur en moellons : 110 l.
2/ Muret de briques pleines : 140 l.
3/ Mur porteur en briques : 100 à 125 l.
4/ Briques creuses : 140 l.
5/ Parpaings : 140 l.

Doser des mortiers d'enduit
Un enduit de mortier est destiné à protéger la maçonnerie contre les intempéries et lui donner un plus bel aspect.
Un enduit est réalisé en trois couches dosées différemment :
1/ Le gobetis ou dégrossissage (environ 3 mm d'épaisseur) :
50 kg de ciment pour 90 l de sable sec.
2/ Le corps d'enduit (environ 15 mm d'épaisseur) :
50 kg de ciment pour 110 l de sable ou,
50 kg de ciment plus 25 kg de chaux pour 160 l de sable.
3/ La couche de finition (environ 5 mm d'épaisseur) :

Doser du sable humide
Les dosages pour fabriquer du mortier ou du béton sont indiqués avec du sable sec, or, le sable est souvent humide et son volume est plus grand que celui du sable sec (c'est le foisonnement).
Pour doser du sable humide :
1/ Remplir de sable un seau de 10 l.
2/ Ajouter de l'eau en mélangeant, ce qui entraîne un abaissement du niveau du sable.
3/ Ajouter du sable avec un récipient gradué jusqu'au bord du seau.
Si on rajoute 1,4 l de sable cela veut dire que pour avoir 10 l de sable sec il faut 11,4 l de sable humide.

Du mortier à la bonne consistance
Le dosage en eau du mortier est assez délicat car il s'effectue "à l"estime".
En principe, on compte 1 volume d'eau pour 5 à 6 volumes de mortier.
Mieux vaut gâcher le mortier avec un peu moins d'eau et en rajouter si besoin est.
Du mortier trop sec est difficile à utiliser et il tient mal.
Du mortier trop liquide a un fort retrait et il reste perméable.
Un mortier bien dosé est onctueux et un peu huileux.
Si on pose la truelle ou la pelle dessus, il se lisse par remontée d'eau.
Il est assez épais pour tenir sur la truelle tenue horizontalement, sans couler.

Gâcher du béton
Le béton est un mélange de ciment, d'agrégats (sable et graviers) et d'eau.
On peut gâcher le béton comme du mortier, à la pelle.
Pour des quantités importantes, utiliser une bétonnière (on peut la louer).
1/ La bétonnière étant en rotation, y mettre, dans l'ordre : les graviers, le sable, le ciment et l'eau.
2/ Laisser tourner environ 2 mn avec une petite bétonnière courante de 0,75 cm ou 1 m de diamètre, ou 3 mn pour une grosse bétonnière.
3/ Vider la bétonnière et utiliser le béton.

Doser le béton
Le béton se compose différemment selon sa destination .
Pour un m3 de béton :
1/Fondations : 600 l de graviers, 600 l de sable et 250 kg de ciment.
2/ Murets : 800 l de graviers, 400 l de sable et 300 kg de ciment.
3/ Dalles de jardin : 950 l de graviers, 250 l de sable et 350 kg de ciment.
4/ Dalles ou murs en béton armé : 800 l de graviers, 400 l de sable et 350 kg de ciment.
5/ Piliers et linteaux armés : 750 l de graviers, 450 l de sable et 400 kg de ciment.
Le dosage en eau varie de 140 à 200 l par m3 de béton.

Choisir des briques pleines
On distingue différentes qualités de briques pleines :
1/ Briques ordinaires à enduire.
2/ Briques "apparentes".
3/ Briques de premier choix.
4/ Briques de second choix (déformées ou fendillées) moins chères, mais qui risquent de se casser.
5/ Catégories de résistance : A, B, C et D (les briques de catégorie A sont 6 fois plus résistantes que les briques de catégorie D).
6/ Briques réfractaires pour cheminées et barbecues.
Pour savoir si une brique est en bon état, frapper deux briques entre elles, elles doivent sonner avec une légère résonance.

Maçonner des briques pleines
1/ Arroser ou tremper les briques dans l'eau.
2/ Déposer un petit tas de mortier à la truelle.
3/ Poser une brique dessus en appuyant pour que le mortier déborde autour de la brique.
4/ Avec le côté de la truelle, enlever le mortier qui déborde.
On pose ainsi chaque brique sur un bain refluant de mortier pour que les espaces avec les briques voisines soient garnis de mortier.
Pour bien enfoncer la brique dans le lit de mortier, la tapoter avec le bout du manche de truelle ou avec une massette.
En général le joint entre deux briques est de 1 cm de large.

Couper une brique pleine
1/ Tracer d'abord à la craie ou avec un gros crayon le trait de coupe sur les quatre faces de la brique.
2/ Creuser une entaille sur chaque trait, par de petits coups, sur les quatre côtés de la brique, jusqu'à ce qu'elle se casse en ligne droite.
Utiliser soit un ciseau de briqueteur à lame très large, en tapant dessus avec une massette ; soit un martelet de maçon dont la panne coupante est destinée à cet usage.
Ne pas chercher à couper la brique d'un seul coup, elle se casserait de façon irrégulière.
Attention ! les briques de second choix se coupent mal.

Appareiller des briques pleines
Appareiller des briques c'est les disposer de façon à construire un ouvrage solide.
Avec des briques apparentes l'appareillage a aussi un rôle décoratif.
La règle de base est que les joints verticaux de deux rangées successives ne soient jamais alignés.
Ils sont "croisés".
Les dimensions d'une brique (220 x 105 x 55 mm) sont conçues pour que, dans un mur de 22 cm d'épaisseur, on puisse alterner les briques en longueur et les briques en largeur : deux briques en largeur avec un joint de 1 cm correspondent à une brique en longueur.

Jointoyer les briques pleines
Lorsqu'on monte un mur en briques apparentes, on réalise, ensuite des joints de finition :
1/ Dégarnir les joints exécutés en cours de montage sur 2 cm de profondeur.
2/ Préparer du mortier à joint avec 35 l de sable sec pour 10 kg de ciment plus 6 kg de chaux.
3/ Déposer un cordon de mortier, dans le joint, avec une truelle langue de chat.
4/ Lisser le joint, en creux, avec la pointe de la truelle ou avec un fer à joint (plat ou arrondi).
Le joint a deux fonctions : donner un aspect décoratif et rendre la maçonnerie étanche à l'eau.

Maçonner des briques creuses
1/ Mouiller les briques avant de les poser.
2/ Déposer un lit de mortier sur la surface horizontale.
3/ Y enfoncer la brique en tapant à petits coups (des coups violents peuvent la casser).
4/ Réaliser ensuite le joint vertical avec la brique voisine, déjà en place, (1 à 2 cm de largeur), en faisant couler du mortier dans l'espace.
Pour empêcher le mortier de couler de chaque côté, appuyer une taloche contre les briques.
5/ Pour obtenir des joints plats, les lisser, au fur et à mesure, avec la truelle.
Les briques creuses se posent à joints croisés.

Couper une brique creuse
Pour qu'une brique creuses puisse être coupée, elle doit être en bon état, non fêlée, et donner un son clair si on tape dessus au marteau :
1/ Tracer, à la craie ou au crayon gras, un trait de coupe sur les quatre côtés.
2/ Entailler chaque trait au martelet ou au ciseau à brique (comme pour une brique pleine), jusqu'à ce que la paroi extérieure de terre cuite soit percée et qu'on voit les creux.
3/ Poser la brique sur du sable et d'un coup sec, du tranchant de la truelle à briqueter, la couper en deux.

Maçonner des parpaings
Les parpaings dont le vrai nom est blocs de béton, peuvent être pleins ou perforés.
Les parpaings pleins se posent à joints croisés sur bain refluant de mortier et les joints sont réalisés, en montant, avec le mortier de pose.
Les parpaings perforés sont assemblés avec du mortier consistant pour qu'il ne coule pas dans les trous.
Les parpaings à feuillures se posent emboîtés, l'un contre l'autre ; le joint vertical est réalisé en coulant du mortier plus liquide que le mortier de pose.

Maçonner des moellons
Construire en pierres est réservé à l'amateur éclairé car les moellons ont des formes irrégulières et demandent souvent à être retaillés :
1/ Pour une maçonnerie esthétique et solide un moellon doit avoir au moins une face plane, et être, à peu près, rectangulaire.
2/ Tous les mètres de mur, il faut placer une pierre dont la longueur correspond à l'épaisseur du mur.
3/ Chaque moellon doit être noyé dans le mortier.
4/ Les espaces importants entre deux moellons sont comblés par des éclats ou de petites pierres.

Contrôler sa maçonnerie
Quand on construit un muret ou un mur en maçonnerie, il faut contrôler périodiquement sa régularité, son alignement et sa verticalité.
1/ Le fil à plomb permet de vérifier (tous les deux rangs) la verticalité de chaque face.
2/ Le niveau à bulles, posé sur une grande règle, vérifie l'horizontalité de chaque rang.
3/ Une règle de maçon sert à contrôler la planéité des faces.
4/ Des cordeaux tendus sont les guides permanents d'alignement.
Pour une fondation on les tend entre des piquets.
Pour un mur, on les fixe à des chevillettes, dans les joints.

Gâcher du plâtre
Attention !
le plâtre prend vite (15 à 20 mn) donc il ne faut jamais préparer plus de plâtre qu'on ne peut en utiliser pendant ce laps de temps :
1/ Dans une auge très propre, mettre le volume d'eau pour une gâchée (au maximum 25 l).
2/ Répandre le plâtre à la surface de l'eau à raison d'un volume de plâtre par volume d'eau.
3/ Laisser le plâtre s'imbiber d'eau pendant 30 à 60 secondes.
4/ Mélanger avec une truelle tenue en biais pour couper le plâtre.
5/ Laisser reposer 5 à 10 minutes.
6/ Remuer pour obtenir un mélange crémeux et utiliser dans le quart d'heure qui suit.

Du plâtre à prise lente
Le plâtre fait sa prise très vite, souvent même trop vite mais les "trucs" pour ralentir cette prise sont tous mauvais :
rajouter de l'eau ou malaxer vigoureusement tue le mélange en le rendant inutilisable ; en ajoutant des produits à l'ammoniaque ou aux phosphates, le plâtre ne durcit plus ou, au séchage, se couvre d'auréoles et d'efflorescences.
Seule solution lorsqu'on veut pouvoir travailler le plâtre longtemps, par exemple pour réparer des corniches ou des moulures :
utiliser du plâtre à modeler qui a un temps de prise beaucoup plus long et qui peut être travaillé.

Poser des carreaux de plâtre
Le carreau de plâtre, en épaisseur de 4 à 10 cm, avec deux faces lisses et planes, est destiné à la réalisation de cloisons.
Il est pourvu de rainures et languettes pour une pose emboîtée et collée.
1/ Déposer un cordon de colle à carreau de plâtre dans la rainure du carreau et un cordon sur chaque côté de la languette de l'autre carreau.
2/ Emboîter les deux carreaux.
3/ Enlever le surplus de colle avec la truelle.
4/ Le carreau se coupe à la scie à grosse denture.
5/ On le pose à joints verticaux croisés, et la première rangée est posée sur une semelle en bois ou sur un profil PVC.

Réparer une marche en béton
Souvent le nez des marches en béton se casse ou s'effrite.
1/ Tailler le nez abîmé au ciseau de maçon pour réaliser une saignée et supprimer le béton qui tient mal.
2/ Bien dépoussiérer.
3/ Préparer du mortier additionné de résine d'accrochage et reboucher la saignée en lissant bien.
On peut aussi utiliser du mortier de réparation qui s'achète prêt à mélanger avec de l'eau.
4/ Si la réparation est très importante, il faut coffrer et couler le béton.
5/ Laisser toujours sécher plusieurs jours avant utilisation.

Faire une allée en béton antidérapante
Une allée ou une terrasse en béton lisse deviennent glissantes sous la pluie.
On peut rendre la surface un peu rugueuse et donc antidérapante :
1/ Mouiller la surface de béton puis la badigeonner avec un vieux balai trempé dans une solution acide (1 volume d'acide chlorhydrique pour 8 à 9 volumes d'eau).
2/ Laisser agir quelques minutes et rincer à grande eau.
Attention !
l'acide est dangereux, éviter les projections ; éloigner enfants et animaux ; porter des bottes, des gants en caoutchouc et des vêtements de travail.

Rendre une maçonnerie imperméable
Quand une construction en maçonnerie doit être imperméable (fondations étanches, dalles de béton en milieu humide, bassin, cuvelage de cave...) il faut utiliser du mortier lui-même imperméable et des éléments de construction (briques, parpaings) qui ne sont pas fissurés.
Pour rendre le mortier (ou le béton) imperméable, on y ajoute, lors du gâchage, un hydrofuge en poudre ou en liquide.
Ces hydrofuges diminuent la capillarité du mortier ou du béton, ils améliorent leur plasticité et leur résistance au gel et évitent les efflorescences.

Réparer un enduit de ciment
Un enduit de ciment ne peut être réparé que s'il est en bon état général et que seules quelques plaques se sont décollées.
1/ Piquer au burin les parties abimées.
2/ Dépoussiérer et mouiller abondamment.
3/ Préparer un mortier liquide et en projeter une couche mince à la truelle.
4/ Laisser sécher une demi-journée.
5/ Préparer un mortier dosé à 2 l de sable par kg de ciment.
6/ Jeter le mortier sur les trous, le lisser et l'aplanir à la taloche.
7/ A la brosse, à la truelle ou à la taloche, donner le même aspect que l'enduit d'origine.

Nettoyer un vieux crépi
Les crépis grisaillent à cause des poussières et salissures, ils peuvent être nettoyés par plusieurs méthodes :
1/ Laver avec un hydronettoyeur à haute pression.
2/ Lessiver à la lessive Saint-Marc (50 à 100 g de lessive par litre d'eau) et rincer au jet.
3/ Brosser à la brosse de chiendent trempée dans une solution de potasse (1 volume d'eau pour 3 volumes de potasse) et rincer au jet.
4/ Si le lavage n'est pas assez efficace, il faut peindre.
Utiliser, par exemple, un rénovateur de crépi qui s'applique en une seule couche.

Boucher un trou dans une cloison
En théorie on peut reboucher les trous dans le plâtre avec du plâtre ou avec un enduit de rebouchage.
Si le trou est important, voici une méthode plus sûre :
1/ Mouiller le trou.
2/ Tremper du papier journal dans de l'eau et en faire une boule qui rebouche, à peu près, le trou.
3/ Gâcher un peu de plâtre et y tremper la boule de papier.
4/ Enfoncer la boule dans le trou.
5/ Boucher au plâtre et lisser.
On peut boucher des trous plus petits, de la même façon, en faisant un tampon de ficelle ou de filasse.

Réparer une fissure dans le plâtre
Pour réparer du plâtre fissuré, utiliser plutôt de l'enduit de rebouchage que du plâtre.
1/ Gratter la fissure avec un grattoir triangulaire, en n'hésitant pas à la creuser.
2/ Dépoussiérer avec un pinceau humide.
3/ Reboucher avec de l'enduit de rebouchage déposé au couteau de plâtrier.
4/ Laisser sécher.
5/ En général l'enduit se rétracte au séchage, déposer une seconde couche mince d'enduit et lisser avec un couteau large.
6/ laisser sécher puis poncer.
7/ Pour éviter qu'une fissure ne s'ouvre.

Empêcher une fissure de s'ouvrir
Souvent une fissure rebouchée dans un enduit de plâtre s'ouvre à nouveau.
Pour éviter ce phénomène il faut ponter la fissure pendant son rebouchage.
Après rebouchage,
poser sur toute la longueur de la fissure une bande de pontage :
soit un calicot adhésif,
soit un calicot fin à coller.
Pour le calicot à coller :
appliquer une couche épaisse de peinture vinylique ; poser le calicot dessus et le recouvrir d'une seconde couche de peinture ; laisser sécher et finir par une couche d'enduit.

Sceller au ciment
Pour sceller une patte de porte ou un gond de volet dans un mur de maçonnerie, on utilise du ciment.
1/ Percer le trou de scellement.
2/ Gâcher le mortier de scellement, soit du ciment prompt pur (sa prise est très rapide, mais il est fragile), soit un mélange de ciment normal et de ciment fondu avec un peu de sable fin.
3/ Dépoussiérer le trou et le mouiller abondamment.
4/ Jeter du ciment, à la truelle, dans le trou.
5/ Enfoncer la patte dans le ciment et la caler par de petits cailloux.
6/ Boucher et lisser.

Sceller au plâtre
Dans un enduit de plâtre ou une cloison en carreaux de plâtre, on peut réaliser des scellements au plâtre, par exemple pour mettre en place un tampon de bois servant à fixer un objet lourd.
1/ Creuser un trou assez grand.
2/ Dépoussiérer et mouiller abondamment.
3/ Préparer le plâtre à scellement à raison d'un volume d'eau pour 2 à 3 volumes de plâtre.
4/ Jeter du plâtre au fond du trou.
5/ Positionner le tampon à sceller en l'enfonçant dans le plâtre.
6/ Reboucher et lisser.
Eviter de sceller au plâtre des pièces métalliques qui peuvent rouiller.


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